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Je suis Jaco, le pilote philosophe. Bienvenue au podcast de l’émission: «Mon point de vue à 35 000 pieds» intitulé «Pourquoi philosopher ?»

«… la philosophie est une activité dans la pensée, qui débouche, du moins en principe, sur une vie plus active, plus heureuse, plus lucide, plus libre — plus sage.» — André Comte-Sponville1

De tous les temps, l’être humain s’est questionné

Il est fort à parier que de tous les temps, l’être humain s’est posé maintes questions de nature existentielle. À tout le moins, les individus se sont probablement interrogés quant au sens qu’avait leur vie. Aussi, quelle que soit l’ère à laquelle ils ont vécu, les gens ont, de maintes façons, tenté de s’expliquer le monde dans lequel ils vivaient. Et face à l’inconnu ou à l’inexplicable, ils s’en remettaient souvent aux dieux qu’ils se créaient de toute pièce, afin d’apaiser le malaise que l’inconnu et l’inexplicable engendraient en eux. La nature de l’être humain étant donc ce qu’elle est, ils ne pouvaient faire autrement que de se réjouir des réponses et donc du réconfort que leur offraient leurs croyances nouvellement acquises en ces Dieux. C’est d’ailleurs ce qui a fait la force des religions organisées par la suite, toutes religions confondues, qui au fil des ans, ont su fournir des réponses aux questions pour lesquelles il n’en existait alors aucune, même si celles-ci n’étaient fondées que sur de simples croyances.

À cet égard, voici ce qu’en disait John Gray2 dans son livre « Feline Philosophy: Cats and the Meaning of Life » : « Les religions sont des tentatives pour rendre un univers inhumain humainement habitable. Les philosophes ont souvent rejeté ces croyances comme étant bien en deçà de leurs propres spéculations métaphysiques, mais la religion et la philosophie répondent au même besoin. Toutes deux tentent de repousser l’inquiétude permanente qui accompagne l’être humain. »3

Or donc, au fil des époques, certains comme Socrate, dont j’ai fait mention lors du podcast précédent intitulé «Définir l’acte de philosopher», ont voulu se servir de réflexion et d’argumentaires raisonnés en opposition aux croyances établies, qu’elles aient été religieuses ou autre. C’est d’ailleurs à cause de ces réflexions et ces argumentaires qu’ultimement, Socrate subit un procès pour impiété4, au terme duquel il fut condamné à mort. Sans nécessairement affirmer que Socrate eut été le premier à remettre en question des croyances acceptées de tous en se servant de la raison, il n’en demeure pas moins une figure emblématique. Bien d’autres après lui se sont aventurés à affirmer leur point de vue en opposition à des croyances jugées inébranlables, mais souvent ils le firent au détriment de leur liberté ou tout comme Socrate, au détriment de leur vie.

Ainsi, malgré le fait qu’au fil du temps, le raisonnement vint à occuper de plus en plus de place en opposition aux simples croyances, de toute évidence, l’environnement des croyances aveugles perdure encore aujourd’hui et est bien ancré.

L’inconfort du philosophe

Comme on vient de le voir, l’acte de philosopher peut donc être hasardeux, car qui dit philosopher dit risquer de se faire juger par ceux qui représentent l’ordre établi. Toutefois, ce n’est pas la seule raison qui empêche quiconque à philosopher, car, en plus du jugement d’autrui, l’acte de philosopher peut, à lui seul, créer un inconfort et ébranler la fondation des croyances qui sont nôtres. Ainsi, souvent transmises par nos parents, ces mêmes parents qui nous ont tout appris et envers lesquels nous éprouvons une confiance aveugle, les croyances qu’ils nous ont transmises forment l’un des piliers sur lesquels repose notre identité. Et puisque nous avons peu de raisons de douter des convictions de nos parents et encore moins de leur bienveillance à notre égard, il est donc normal de ne pas nécessairement vouloir mettre en doute la légitimité de leurs enseignements. Autrement dit, nos croyances nous ont souvent été transmises de façon innée par nos parents et sont au centre de la personne que nous sommes devenus.

Mais plus encore, nos croyances nous sont aussi transmises par le conditionnement sociétal inculqué par la communauté dans laquelle on évolue. Et le sentiment d’appartenance à une société, quelle qu’elle soit, avec toutes ces règles et ces conventions nous apportent réconfort et stabilité. Et donc, pour ces deux raisons, il est possible de ne pas vouloir oser penser autrement donc difficile de philosopher.

Étant donné que, tout comme j’en ai fait mention précédemment, l’acte de philosopher peut déstabiliser et créer un inconfort, ça explique probablement pourquoi trop peu de gens s’y adonnent. Outre le jugement d’autrui, ils ont en plus, peur d’être livrés à eux-mêmes et avoir à répondre à leur propre questionnement. Ils préfèrent ne pas les aborder de front et préfèrent même jouer à l’autruche dans bien des cas. Ils évitent donc tout questionnement qui saurait mettre en péril leur système de croyances et préfèrent les enfouir plutôt que de les aborder. Pourtant, n’est-ce pas cette habileté à oser penser et réfléchir pour et par soi-même qui a fait progresser l’humanité au fil du temps ?

Pourquoi devrions-nous philosopher?

Malgré l’inconfort que l’on peut ressentir et malgré les inquiétudes que l’on saurait avoir quant aux réactions de notre entourage face à notre désir de philosopher, il importe de se rappeler que, tout comme j’en ai fait mention lors de mon podcast d’introduction globale au site web du pilote philosophe, le but de philosopher pour une personne est de réfléchir « sur le monde et la pensée, pour accéder à la sagesse ou pour comprendre le sens de la vie, dans l’espoir d’être plus heureuse ou plus libre. »6 Philosopher permet donc de donner sens au monde dans lequel on évolue, mais plus encore, de donner sens à son existence.

Ainsi, plutôt que d’errer dans la vie et de « survivre sa vie » comme je le mentionne souvent, il nous est permis de la vivre pleinement. Car pour moi, « survivre sa vie » veut dire vivre son quotidien en fonction de buts et objectifs que l’on se fixe certes, mais sans nécessairement que notre vie ait de sens. La raison d’être est donc ce qui, pour moi, différencie entre vivre sa vie et survivre sa vie. D’où l’importance, que dis-je, de la nécessité de philosopher. Ainsi, une fois l’inconfort et les appréhensions surmontés, une sérénité adviendra grâce à la satisfaction d’avoir pris le contrôle de votre existence alors que, chemin faisant, vous deviendrez de plus en plus sage, jour après jour. Car rien ne peut être plus rassurant que de se savoir en contrôle et sage par surcroit.

Le processus importe plus que la résultante

Quoique trouver réponse à nos questionnements puisse sembler intéressant, ce qui importe toutefois n’est pas la résultante, mais bien le processus de réflexion en soi. Car, tout comme j’en ai fait mention lors de mon podcast d’introduction à l’émission «Ces Grands Méconnus», «Le seul fait d’entamer un processus de réflexion peut s’avérer salutaire, car ce qui importe n’est pas nécessairement de trouver réponse à nos questions, mais bien d’à tout le moins se les poser !» Et, donc, le simple fait de philosopher peut, à lui seul, remédier à l’inconfort existentialiste s’il y en a.

À cet effet, en introduction à un épisode de l’émission radiophonique française «La conversation scientifique»7 intitulé « Et la question est: qu’est-ce qu’une question? » l’animateur Étienne Klein mentionne ceci: «Dans (son livre) L’entretien infini, Maurice Blanchot (philosophe français) expliquait que “la réponse est le malheur de la question”: la réponse vient toujours fermer certaines des portes que la question avait justement la vertu d’ouvrir ; dès que la réponse advient, nous sommes obligés de renoncer à la richesse de la possibilité, à la liberté d’imaginer une réponse autre que celle qui a été dite.»8 Voilà qui illustre bien la primauté de l’exercice de réflexion sur sa résultante. Il importe donc de philosopher, qu’on obtienne réponse à nos questionnements ou non.

Tôt ou tard, il faudra bien que l’on philosophe tous

Dans mon podcast intitulé «Définir l’acte de philosopher», j’ai fait mention que «philosopher, c’est d’abord et avant tout s’interroger envers et à propos de nous-mêmes allant même jusqu’à se remettre en question s’il le faut. Philosopher c’est donc tenter de mieux comprendre qui nous sommes, mais plus encore, qui nous sommes en devenir.» Et comme je l’ai mentionné précédemment, ultimement, philosopher c’est aspirer à être plus heureux ou plus libre. Ainsi, tôt ou tard, la majorité d’entre nous seront confrontés à des questionnements qui nous interpelleront et pour lesquels il n’existe aucune réponse préfabriquée.

Très peu de gens parviennent donc, toute leur existence durant, à les esquiver. Arrive un moment dans la vie de tout un chacun, où l’on se remet en question. On réalise tout le chemin parcouru, presque aveuglément, sur le pilote automatique (pour ne pas faire de jeu de mots), sans que l’on se soit posé aucune question. On fait le bilan de ce qu’on a accompli et l’on s’interroge sur ce qu’on désire faire du temps qui nous reste, ne sachant pas combien de temps nous avons. Lorsqu’on est jeune, il est normal de ne pas trop s’interroger puisque nous avons toute la vie devant nous. On se sait mortel, mais cette réalité ne nous interpelle pas dès lors, heureusement. Pourtant, il arrive un moment où bien des gens dont je fais partie viennent à s’interroger sur des questions existentielles. Et donc à petite échelle, on s’interroge sur le sens de notre existence, alors qu’à une plus grande échelle, on s’interroge sur l’état du mode ou sur le lègue que notre génération transmettra aux générations à venir par exemple.

Quoiqu’il en soit, certains légitimeront leur inaction à la suite de ce questionnement par le rythme effréné auquel ils sont appelés à vivre leurs vies. D’autres feront de l’évitement, en allant même jusqu’à abuser de drogues, ou d’alcool par exemple. D’autres, quant à eux, feront dans ce que j’appelle le divertissement à outrance qui ne vise qu’à engourdir l’esprit alors qu’ils passeront la plupart de leurs temps libres sur les réseaux sociaux ou à regarder des séries télévisées en rafales. Mais il n’en reste pas moins que la majorité d’entre nous seront interpellés tôt ou tard par celles-ci. Et à force de les repousser aux calendes grecques, il pourrait advenir qu’au moment où l’on décide de s’y attarder, nous ayons l’impression que c’est trop peu trop tard. Mais il vaut mieux tard que jamais.

Philosopher, un exercice sans fin

Enfin, même si je vous ai convaincu de la nécessité de philosopher et du fait que le processus importe plus que la résultante, certains pourraient se laisser décourager par le fait que, comme le mentionnait André Comte-Sponville dans son Dictionnaire philosophique dont j’ai fait mention plus tôt, «la philosophie (donc l’acte de philosopher) est pour l’homme l’effort vers la sagesse, qui est toujours inaccomplie». Nous qui avons été habitués à atteindre des buts, habitués à ce qu’il y ait une finalité à tout ce que l’on fait, à obtenir un résultat probant, comment pourrait-on prendre part à un exercice le sachant sans fin? Permettez-moi de vous faire part de deux citations à cet effet qui, je l’espère, vous aideront à considérer les choses autrement.

La première qui est la plupart du temps attribuée à Ralph Waldo Emerson910 va comme suit : «La vie est un parcours et non une destination.» Citation des plus brève, mais qui dit tout. Ce qui importe donc n’est pas d’atteindre un but précis, mais bien de faire en sorte que notre parcours dans ce cas-ci, notre démarche philosophique nous soit profitable et soit profitable à autrui alors qu’au travers de celle-ci, nous croissions tous en sagesse.

Et l’autre citation provient d’un discours de John Fitzgerald Kennedy11 alors qu’il mentionna ceci : «  «le maréchal Lyautey demanda un jour à son jardinier de planter un arbre. Le jardinier objecta que cette sorte d’arbre croissait lentement et qu’il n’atteindrait pas sa maturité avant cent ans. Le maréchal répliqua : dans ce cas, il n’y a pas de temps à perdre. Plantez-le aujourd’hui.»

Ainsi, que l’exercice de philosopher en soit un que l’on juge sans fin importe peu, car tout comme l’arbre qui nécessitera 100 ans avant d’atteindre sa maturité, toute personne qui philosophera contribuera à embellir le milieu dans lequel il évoluera tout au long du processus y menant. Et tout comme le jardinier, qui ne pourra pas admirer l’arbre une fois qu’il aura atteint sa maturité, l’influence du philosophe se fera sentir bien au-delà de son trépas. Même si vous n’êtes pas témoin de la résultante et encore moins de l’impact que vous sauriez avoir auprès d’autrui importe donc peu, car au risque de me répéter, c’est le processus qui compte et non la résultante.

En conclusion

Pour conclure, permettez-moi de vous faire part de deux citations provenant de l’endos de deux livres d’auteurs français que j’ai récemment découverts et qui résument bien ma pensée selon laquelle philosopher est accessible à tous et qu’on ne peut apprendre à philosopher qu’en s’y exerçant :

Extraits de l’endos du livre «Tous philosophent» sous la direction de Jean Birnbaum

«Au début, on pouvait croire à une mode passagère. Et puis la vogue est devenue lame de fond : aujourd’hui, l’amour de la philosophie constitue une passion partagée. Comme si notre société renouait avec une promesse des Lumières, que Diderot12 résumait ainsi : “Hâtons-nous de rendre la philosophie populaire !”

Une réflexion pédagogique et paradoxale : si philosopher, c’est “penser par soi-même”, ce geste autonome peut-il s’en remettre à une parole enseignante ? Une réflexion historique et culturelle, enfin, car il faut se demander ce qu’il en est de la philosophie ailleurs qu’en Occident. La pratique de la philosophie nous amène à nous défaire de nos certitudes et à nous bricoler une éthique en actes, qui nous permet de tenir bon, de nous tenir bien : apprendre à philosopher, c’est apprendre à être libre. Voilà une urgence collective et un impératif pour tous.»

Extraits de l’endos du livre «Pour que la philosophie descende du ciel» de Alexandre Lacroix

«Vingt-quatre siècles après la mort de Socrate, il est temps qu’on cesse de prendre les idées pour des divinités célestes, intimidantes et hautaines. D’en finir avec ce préjugé que les grandes notions de la philosophie flotteraient au-dessus de nos têtes, qu’elles appartiendraient à une réalité à part, inaccessible.

Philosopher n’est pas simplement affaire de spécialistes et d’érudits. Cela ne s’apprend pas forcément dans les manuels, bien au contraire : il s’agit d’abord d’un acte de pensée accessible à chacun, pour peu qu’on ait confiance en son jugement et qu’on fasse l’effort de réfléchir à sa propre condition.

En partant à chaque fois d’une expérience vécue, d’un rêve marquant, d’une conversation entre amis, du souvenir d’un être disparu ou de la contemplation d’un paysage, il (Alexandre Lacroix) montre que loin d’être des constructions abstraites, les idées naissent le plus souvent d’un rapport concret au monde. Et qu’avant d’être une discipline scolaire, la philosophie est bien une émanation de la vie.»

Alors, maintenant que vous êtes en mesure de mieux apprécier le fait que l’acte de philosopher peut vous être bénéfique, je vous convie à philosopher. Mais, sachant que philosopher ne s’enseigne pas, ni ne s’apprends par les livres, mais que l’on doit plutôt s’y exercer, comment donc faire pour y parvenir ? Je vous convie donc à mon prochain podcast intitulé «Comment philosopher» pour y découvrir des pistes de solutions dont je vous ferai part.

En terminant, j’aimerais vous faire mention que, pour ceux que ça intéresserait, ce podcast est aussi produit en version anglaise. Pour y accéder, visitez simplement le site web https://thephilosopherpilot.com. Autrement, je vous invite à consulter le site du pilote philosophe au https://lepilotephilosophe.com et y découvrir les trois émissions podcasts ainsi que le blogue qui s’y trouve. Peut-être voudrez-vous aussi vous inscrire à mon bulletin d’information afin d’être à l’affût des nouveautés. Enfin, si vous aimez mes écrits et mes podcasts, informez-en votre entourage en les partageant, ce serait grandement apprécié. À bientôt pour un autre podcast du pilote philosophe.

Credits:
Musique de Infraction sur Bandcamp
Photo de Evan Dennis sur Unsplash

Sources

  1. Comte-Sponville, André. Dictionnaire philosophique (Quadrige) (French Edition). Presses Universitaires de France. Kindle Edition.
  2. John N. Gray, né le 17 avril 1948 à South Shields dans le comté de Tyne and Wear (Nord-Est de l’Angleterre), est un philosophe et essayiste britannique. Ancien titulaire de la chaire de philosophie européenne à la London School of Economics, il se consacre désormais à l’écriture. John Gray contribue régulièrement au Guardian, au New Statesman et au supplément littéraire du Times. Il a écrit de nombreux livres de théorie politique, dont récemment Straw Dogs: Thoughts on Humans and Other Animals (2003) où il se montre particulièrement critique de la pensée humaniste qu’il considère comme la mère des idéologies religieuses. https://fr.wikipedia.org/wiki/John_N._Gray
  3. Traduction libre de “Religions are attempts to make an inhuman universe humanly habitable. Philosophers have often dismissed these faiths as being far beneath their own metaphysical speculations, but religion and philosophy serve the same need. Both try to fend off the abiding disquiet that goes with being human.” Gray, John. Feline Philosophy (p. 2). Farrar, Straus and Giroux. Kindle Edition.
  4. L’impiété est un manque de considération pour les obligations dues au culte, qui représente l’ensemble des pratiques liées à une croyance
  5. Extrait provenant de Wikipédia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophe. Ainsi ces aspirations au bonheur et à la liberté que saurait procurer la philosophie, à elles seules, devraient suffire à nous inciter à philosopher, et ce malgré notre inconfort et nos inquiétudes. C’est Michel Onfray un philosophe et essayiste français qui mentionne dans son livre « La puissance d’exister » que : « Philosopher, c’est rendre viable et vivable sa propre existence, là où rien n’est donné et tout reste à construire. »5Michel Onfray, La Puissance d’exister : Manifeste hédoniste, éd. Grasset & Fasquelle
  6. «La conversation scientifique» est une émission radiophonique sur la chaine France Culture
  7. https://citations.ouest-france.fr/citation-maurice-blanchot/reponse-malheur-question-2597.html
  8. À noter : une certaine incertitude semble existant quant à l’auteur réel de cette citation
  9. Ralph Waldo Emerson, né le 25 mai 1803 à Boston (Massachusetts) et mort le 27 avril 1882 à Concord (Massachusetts), est un essayiste, philosophe et poète américain, chef de file du mouvement transcendantaliste américain du début du XIXe siècle. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ralph_Waldo_Emerson
  10. John Fitzgerald Kennedy, dit Jack Kennedy, communément appelé John Kennedy et par ses initiales JFK, né le 29 mai 1917 à Brookline (Massachusetts) et mort assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas (Texas), est un homme d’État américain, 35e président des États-Unis du 20 janvier 1961 à sa mort en 1963. https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Fitzgerald_Kennedy
  11. Denis Diderot, né le 5 octobre 1713 à Langres et mort le 31 juillet 1784 à Paris, est un écrivain, philosophe et encyclopédiste français des Lumières, à la fois romancier, dramaturge, conteur, essayiste, dialoguiste, critique d’art, critique littéraire et traducteur. https://fr.wikipedia.org/wiki/Denis_Diderot
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